Ce Groupe transversal aborde la question de la transition agroécologique des systèmes de culture et d’élevage qui s’impose face aux enjeux auxquels l’agriculture est confrontée. Les projets étudient les processus qui s’inscrivent dans une diversité de trajectoires et répondent à des finalités multiples. Cette transition s’inscrit à toutes les échelles (exploitations agricoles, filières, territoires) et dans tous les secteurs de l’agriculture, c’est pourquoi les projets du GTT1 traitent à la fois des systèmes de culture, de l’élevage, de l’irrigation, de sols, d’accompagnement, de communautés…

Plusieurs thèmes d’intérêt partagé ont émergé (non exhaustif) :

• Vulnérabilité, adaptabilité et résilience des systèmes agricoles et d’élevage
• Dynamiques spatiales et diversité des trajectoires
• Accompagnement et formation à la conception de systèmes
• Changement d’échelle, déploiement et impact, lien aux politiques publiques
• Méthodes et postures dans la recherche en partenariat

Projets potentiellement concernés : TFC, PRESENCE, AMPERA, TAI OC, MAVI, AgriAURA, SOLANAE

Animatrices et contacts : Florence Beaugrand, Elise Audoin

Séminaire de lancement le 23/05/25 à Paris

Le groupe a consacré sa rencontre à la mise en perspective des recherches sur la transition agroécologique, avec une cartographie des thématiques abordées et un riche partage d’expériences autour des démarches participatives menées dans les projets. Les discussions ont porté sur les apports et limites des approches de co-construction avec les acteurs, l’utilisation de cadres théoriques comme le métabolisme territorial pour favoriser le dialogue, et les défis rencontrés pour impliquer durablement agriculteurs et institutions. 

Plusieurs projets (PRESENCE, AgriAURA2050, AMPERA, TAI-OC, TRANSAAT, AC²TION, MAVI, SOLANAE, DEFIBIO) ont présenté leurs méthodes et enseignements, ouvrant la voie à des collaborations et à une réflexion sur la posture du chercheur. 

La feuille de route prévoit l’organisation de webinaires thématiques, une rencontre en présentiel au printemps 2026, ainsi que la valorisation des travaux de cartographie sous forme de publication scientifique.